Un peintre de l’invisible et du silence
par le Père Jean-François Thomas s.j.
Sainte Catherine de Sienne 30 avril 2020,
Il faudrait un Maurice Denis pour introduire à la peinture de Réginald Pycke. La peinture a-t-elle d’ailleurs besoin d’introduction ? Non sans doute car elle s’impose au regard qui s’y attache ou qui l’effleure distraitement. Le miracle se produit lorsque les yeux s’y arrêtent et font appel à tous les autres sens …
L’Esprit dans les paysages, les portraits, les personnages (Mai 2018), par Henri de Causans
« Alors que l’humain défait sa relation à l’Amour, pour qui se laisse prendre par l’Esprit en œuvre dans la Beauté, une exposition est à voir à Paris : la peinture du père Reginald Pycke »…
Un peintre, une clarté, par René Lejeune (Avril 2017)
« Cette suite de paysages le rappelle opportunément : les peintres sont créateurs. Ce qui
leur tombe sous les yeux n’est jamais que la chiquenaude qui les provoque à inventer »…
La douce vengeance de la Miséricorde, par Monseigneur André Léonard (2016)
Le père Reginald est de retour à Paris pour une exposition de ses nouvelles peintures… Pour introduire au thème de certaines de ses œuvres, son ami Monseigneur André Léonard nous donne ce texte spirituel sur la Miséricorde.
Couleurs du Sacré, par Michel Trapezaroff (2015)
« La peinture du père Réginald recèle quelque chose de paradoxal : le paradoxe ici n’est pas contradiction mais plutôt interrogation. Comment une peinture aussi éclatante, aussi exubérante, aussi colorée, aussi violente parfois parvient-elle à traduire un tel climat de paix, d’équilibre, de sérénité et de tendresse ? »
Paysages bibliques, par Alain Solari (2014)
« Le style n’est pas simplement une esthétique, c’est beaucoup plus profond que cela. L’intention profonde transforme l’expression. Frère Reginald va vers les archétypes »…
Les Chromatismes de Frère Reginald, par Frédéric Tavernier-Vellas (2013)*,
« Pouvoir voir ce qui habituellement se tient dans le retrait réclame un dévoilement. Toute exposition est un dévoilement. Celle-ci nous dévoile un regard, celui du peintre, et au-delà du regard cela qui est regardé, ce qu’il voit et qui nous échappe… »
Père Reginald 